Philippe, Le Mari Candauliste Et Olga, L’Épouse Hypersexuelle (54) : Le Cinéma, Lieu Insolite.

Comme je l’ai annoncé, je poursuis le récit des endroits insolites où j’ai laissé libre cours à mon hypersexualité et au candaulisme de Philippe.

Les lieux publics sont des endroits où, par définition, le risque d’être surpris est important. Cela ajoute au piment, pour une exhibitionniste comme moi. Il ne faut cependant pas oublier que l’attentat à la pudeur est toujours puni par la loi. Anciennement outrage public à la pudeur, l’exhibition sexuelle est toujours un délit, décrit dans l’article 232-22 du Code pénal. La loi française prévoit jusqu’à un an d’emprisonnement et 15.000€ d’amende.

LA MAGIE DU CINEMA

Une salle de cinéma plongée dans le noir permet bien des folies. Dans le sas qui y mène ou installés sur les fauteuils, on passe à l’action et on joue son propre film.

La quasi absence de lumière autorise, sous réserve que la salle ne soit pas bondée, à se livrer à quelques expériences sexuelles, sans craindre de se faire remarquer. Faire l’amour dans une salle de cinéma implique d’être discret et, en règle générale, de se limiter aux préliminaires, sauf exception, j’y reviendrai.

On se place si possible au dernier rang et contre un mur. On prend garde aux spectateurs sur notre diagonale ou sur les côtés, qui sont les plus à même de nous repérer. Quand je sais que je vais au cinéma pas uniquement pour le film, je choisis de porter une jupe ou une robe, pour faciliter l’accès à mon partenaire, et naturellement ni culotte, ni string !

LE PARADIS DES CARESSES ET DE LA FELLATION

Le lieu est propice aux baisers et aux caresses, mutuelles ou non, sous la jupe ou le pantalon. Il s’agit de faire monter l’excitation. L’étape ultime, le coït, se fera en général ensuite (pas toujours, en ce qui me concerne), une fois sortis du cinéma, quelquefois dans le parking, si mon excitation ne me permet pas d’attendre d’être à la maison (avec Philippe) ou à l’hôtel, avec un amant de rencontre.



Ce que j’aime dans ces moments est de fixer l’écran, sans regarder son partenaire, pour se concentrer sur mon plaisir. Le plus dur pour moi, dans ces cas, est de contenir mes gémissements quand les doigts de mon partenaire me conduisent à l’orgasme. C’est loin d’être évident compte tenu de la violence de mes orgasmes, que je ressens le besoin d’exprimer et qu’il m’est difficile de contenir.

Ce que j’aime particulièrement au cinéma est de prodiguer une fellation à mon partenaire. J’ai déjà expliqué que, depuis les débuts de notre relation avec Philippe, il n’y a pas une journée où je ne taille pas une pipe à mon chéri, à commencer dès le réveil. Philippe sait donc ce qui l’attend lorsque je lui propose une séance de cinéma, il sait que la gourmande que je suis ne pourra résister à la tentation de lui faire profiter de mes talents.

D’où l’importance du choix de la place, pour pouvoir être prendre tout son temps car la fellation chez moi est une vraie passion. Je me tourne sur le côté, me penche et m’occupe de l’homme, charge à lui de tenter de ne pas faire de bruit durant l'extase, car l’objectif est de faire jaillir sa semence. J’aime tellement ça que, quand le film est suffisamment long, une fois ne me suffit pas. Après avoir revigoré ma victime par des caresses, puis en le masturbant, je remets le couvert. Il m’arrive de quitter une séance de cinéma avec des traces suspectes sur mon chemisier ou mes cheveux, permettant de comprendre mon occupation pendant la séance.

Philippe me dit souvent qu’en matière de fellation, je ne suis pas seulement une gourmande, mais une vorace. Je lui réponds alors qu’il est à moi, à ma disposition, en particulier sa bite que je veux dans chacun de mes orifices et m’abreuver du fruit de ses couilles. Philippe me dit aussi que j’avais besoin d’un mari candauliste, car même un mâle endurant ne suffirait pas à la tâche.

Comme je l’ai dit, j’adore la fellation, que je pratique assidument depuis mon adolescence et ce, avant même mon dépucelage.


Tous mes amants, et ils ont été nombreux, me disent que je suis la meilleure pipeuse qu’ils aient connue. Ca me flatte beaucoup. J’ai souvent fait hurler mes partenaires de plaisir, rien qu’avec ma bouche, ça me donne un sentiment de toute-puissance, c’est jouissif mentalement ! Pour rendre un homme heureux, aimez son sexe !

Cela se joue en un regard avec lui, c’est une complicité joyeuse. J’ai, mes lecteurs le savent, beaucoup d’appétit pour le sexe, rien ne me dégoûte. Je ne demande jamais rien en retour, les choses viennent spontanément. La pipe, il faut s’y intéresser, apprendre à bien la faire. L’indispensable ciment d’un couple, c’est d’avoir en tête ce qui peut combler l’autre. Penser à l’autre, anticiper son plaisir évite bien des frustrations.

Pour moi, la fellation est indispensable. Je la pratique souvent, en allant au bout ou pas. Naturellement, avec Philippe, ou avec un amant en qui j’ai confiance, je ne me dérobe jamais et prends soin d’avaler le précieux nectar, car j’adore ça. Avec les autres, quand ça se passe dans un cinéma, je sais qu’inévitablement j’aurais bien du mal à la sortie à cacher les traces de leurs giclées sur mon visage, mes cheveux ou mon chemisier.

FAIRE L’AMOUR AU CINEMA, UN DECLIC !

J’ai expliqué dans « Lectures érotiques (8). Le Déclic de Milo Manara » l’importance qu’avait eue dans la construction de mon hypersexualité la découverte, dans « l’enfer » de la bibliothèque familiale, à l’insu de mon père (c’est du moins ce que je croyais) du tome 1 de cette bande dessinée érotique.

Une des scènes qui m’avait plus que troublée, littéralement fascinée, était celle où Claudia est au cinéma, avec son mari Arnaldo (pages 25 à 28 de la bande dessinée). Claudia branle son voisin, puis lui taille une pipe. Le type l’amène au fond de la salle, où il va sodomiser Claudia, tout cela sous les yeux du mari cocu. Au fur et à mesure que Fez augmente la puissance de l’appareil, Claudia abandonne toute résistance et invite l’inconnu à lui défoncer le cul.


La scène et les dialogues sont cultes. Fez a déclenché le fameux Déclic. Claudia a la main dans le pantalon de son voisin et le branle avec la main droite, tout en fixant l’écran et en donnant l’autre main à Arnaldo. Le type lui demande « « Et avec l’autre main, tu fais une branlette à ton pédé de mari ? » Puis : « Ça suffit, la veuve poignet. Cocotte, fais-moi une pipe. » Prétextant qu’elle doit ramasser son mouchoir, Claudia s’exécute avec zèle. Le type tient la tête de Claudia : « Vas-Y ! Vas-y ! Vas-y ! Je vais te faire avaler mes couilles ! » Arnaldo, qui n’a rien compris, demande à Claudia si son voisin l’importune ! Puis « Arrête toi, petite pute, maintenant lève-toi et va contre le mur. Dépêche ! » Claudia prétexte qu’elle doit aller aux toilettes.

Arnaldo suit et demande au type de laisser sa femme tranquille ! La réponse est sans appel : « Ta gueule, connard ! Tu veux que tout le monde sache que je casse le cul de ta bonne femme » Arnaldo, décalé, se rend compte qu’elle est consentante. En fait, vierge de ce côté, serrée, étroite, elle résiste, jusqu’à ce que Fez pousse à fond le déclic. Claudia se laisse alors complétement allée et prend son pied, alors qu’Arnaldo jouit dans son pantalon, sans même se toucher !

Claudia m’a fasciné, autant sinon plus qu’Emmanuelle car avec les textes, il y avait les images, ce qui fut pour moi particulièrement instructif dans mon apprentissage sexuel.

PASSAGE A L’ACTE

Et pourtant, paradoxalement, alors que j’avais ce fantasme en tête depuis mon adolescence, je ne l’avais jamais réalisé, avant de connaître Rachid.

Certes pas par timidité, ni par pudeur, ce n’est pas mon genre, simplement parce que l’occasion ne s’était jamais présentée. Cela aurait pu être avec Philippe (et ça l’est désormais souvent quand nous allons au cinéma où je pratique sur lui une fellation plutôt que de suivre le film), mais à ce moment, je n’osais pas, soucieuse de la réputation de mon mari (je sais, ça fait sourire, sachant ce qui s’est passé ensuite) et de ne pas aller dans le sens vers lequel il ne cessait de me pousser.


Comme je l’ai raconté dans le chapitre 11 (paru le 11 janvier 2017), très vite après qu’il soit devenu mon amant, Rachid et moi sortions en ville, enlacés. Nous nous embrassions publiquement. Rachid avait encore ren mes tendances à l’exhibitionnisme, qu’avait déjà encouragées Philippe. Rachid voulait que je sois maquillée à outrance, portant des pantalons serrés ou des jupes « ras la touffe ». Il veillait particulièrement à ce que je ne porte jamais ni culotte ni string et que mes seins soient presque visibles.

Lorsqu’il m’amenait au restaurant, dans un cinéma, il y avait ment un passage par les toilettes pour me baiser ou pour que je le suce. De ce point de vue, pour Rachid, le cinéma était un endroit comme un autre pour disposer de mon corps comme il en avait envie.


Les deux autres expériences que j’ai vécues se sont déroulées dans la période où j’ai repris la vie commune avec Philippe, dans le contexte des contraintes que nous nous sommes imposés volontairement pour protéger notre famille. En même temps, ces contraintes sont particulièrement difficiles à vivre pour une hypersexuelle comme moi. Ces semaines de « disette », comme je les qualifie, créent un véritable état de manque, qui contraint Philippe à faire preuve d’une certaine souplesse, en tolérant des écarts par rapport au cadre fixé. Ces expériences se sont déroulées dans l’anonymat de la grande agglomération où nous vivons depuis 2014.

DANS UN CINEMA PORNO

En accord avec Philippe, j’ai voulu tenter une expérience dans un cinéma porno, réputé pour son sérieux et son hygiène. Il a seulement mis comme condition que je devais me protéger, ce que j’ai fait cette fois-là. Cela s’est passé en journée, hors de l’agglomération où nous vivons. Agun a pris soin des s au retour de l’école et de la crèche. Philippe, au travail, ne pouvait m’accompagner.

Habillée comme une femme sexy et aguichante, je me suis fait remarquer dès mon entrée dans ce cinéma. Je me suis assise au fond, dans une rangée libre. Très vite, des hommes sont venus se mettre autour de moi et le film a commencé. Les scènes étaient très excitantes et j’avais les tétons qui se sont mis à pointer et mon intimité devenir humide.

Un type s’est installé à côté de moi. Pour lui, pas de doutes, une femme, habillée sexy, qui vient dans un tel endroit, a des idées en tête.

Il m’a d’abord demandé s’il pouvait sortir sa queue pour se branler. Cela m’a excitée et je lui ai dit que j’allais l’aider. J’ai commencé à le branler. J’ai écarté les cuisses et il a tout de suite compris ce que je cherchais. Le gars m’a écarté les lèvres et a fouillé mon vagin avec ses doigts. Il a mis ses doigts dans ma bouche pour me donner ma cyprine à lécher, puis les replongeais à l’intérieur de ma chatte.

Mes gémissements de plaisir ont attiré les autres mecs qui se branlaient en nous regardant. J’étais trempée.

J’ai donné un préservatif au gars et je l’ai invité à venir se mettre entre mes cuisses. Pendant qu’il me prenait en levrette, un homme est venu mettre sa queue dans ma bouche.

Je commençais à sentir des mains se balader sur mon corps et des doigts qui me touchaient les orifices. Le gars me martelait la chatte comme un malade et a fini par jouir.

Les autres hommes présents se sont mis des capotes et m’ont baisé à tour de rôle. J’ai joui plusieurs fois sous leurs coups de reins. Pendant que je me faisais défoncer dans ce cinéma porno, je suçais des bites à la chaîne.

Certains retiraient leur capote pour me jouir sur la peau, ce qui m’excitait beaucoup. Mes seins, mon visage, mes cheveux étaient souillés de sperme, comme j’aime.

Ma chatte continuait à recevoir des coups de butoirs lorsqu’un black est arrivé. Il avait une queue énorme. J’ai pensé à ce que j’avais connu avec Ahmadou (voir récit n°26 publié le 26 juillet 2017) et cela me manquait.

J’ai tout de suite voulu la prendre dans ma bouche pour en mesurer le diamètre. Je savais qu’il allait me défoncer et j’ai écarté en grand les cuisses que les autres hommes soutenaient, pour que le black puisse mettre sa grosse et longue queue dans mon vagin.

J’ai cru qu’il allait me transpercer le ventre avec son pieu d’ébène. Il m’a secouée comme un vulgaire sac de viande sans se soucier de mon plaisir et paradoxalement, c’est cela qui m’a beaucoup excitée. Servir de vide couille à un black musclé et viril, qui ne voulait que de la baise, du sexe bestial dans un cinéma porno avec un black, c’est ce que j’étais venue chercher. Que du bonheur !

Après m’avoir limée pendant de longues minutes, il a fini par éjaculer un torrent de foutre épais sur mon ventre et l’a étalé en me disant que je penserais à lui ce soir.

Quand je suis rentrée à la maison, Philippe m’attendait et m’a demandé de différer la douche dont j’avais pourtant besoin, m’entrainant dans la chambre et me déshabillant avec impatience. Mon mari candauliste a, à l’évidence, apprécié les « traces »qu’avaient laissées ces types sur le corps de sa « salope adorée ». Il ne regrettait qu’une chose : n’avoir pas être témoin de ces moments, car il adore que je me laisse aller aux pires extrémités. Pas rebuté par mon état, il me couvrait de baisers et de caresses, m’a gratifié d’un cunnilingus qui me brisa de plaisir, avant de me prendre en levrette avec une fougue toute particulière. Mon Philippe aime quand son Olga est particulièrement salope !

AVEC UN INCONNU

En ce qui concerne la seconde anecdote, elle s’est déroulée dans un cadre qui s’apparente autant au candaulisme, au vu de la complicité de Philippe, que de l’adultère, au vu de mon comportement.

C’était l’automne 2015. Mon abstinence durait depuis un moment et Philippe avait accepté que nous cherchions ensemble une rencontre pour moi sur internet. Mon choix, approuvé par Philippe, s’était arrêté sur un homme, Claude, qui habitait une agglomération voisine. Nos échanges m’avaient donné envie de le rencontrer, bien qu’il refusait le cadre candauliste. Philippe ne pourrait donc assister.

Philippe, qui a toujours la crainte que je m’attache à un amant, était réticent. A force d’insistance de ma part, il a fini par céder. J’ai promis à Philippe de tout lui raconter et de ne pas revoir l’homme une autre fois, ni de lui laisser mon adresse. J’ai donc donné rendez-vous à l’homme pour le lendemain soir.

Je choisis soigneusement ma tenue, en évitant d’en faire trop, y compris sur mon maquillage.

Une jolie voiture aux vitres opaques s'est garée juste devant notre lieu de rendez-vous et il est apparu, dégageant un charme fou.

Je suis allée le rejoindre. Il m'ouvrit la portière en me tendant sa main.

• Bonsoir, Olga. Comment allez-vous ?

Un vrai gentleman, j’ai apprécié qu’il me vouvoie.

• Bonsoir Claude. Bien, merci, et vous ?

• De mieux en mieux, je suis ébloui par tant de beauté.

M'installant confortablement, j’ai dévoilé mes jambes gainées de bas de soie et ce presque jusqu'au niveau de la dentelle des jarretelles.

S'installant au volant il se tourna vers moi et me dit :

• vous êtes terriblement belle et séduisante, est-ce pour moi ?

• Peut-être, dis-je, espiègle. Où m’emmenez-vous ?

• C'est une surprise... vous aimez bien les surprises, n'est-ce pas ?

Sans un regard de plus, il posa sa main chaude sur le haut de ma cuisse encore dévoilée, ce qui me procura un frisson de volupté. Sur le trajet, il s’est contenté de me caresser tendrement l’intérieur de la cuisse, sans parler, comme concentré sur sa conduite, mais frôlant parfois la chair nue.

Je bougeais pour pouvoir écarter mes jambes et libérer un passage vers mon intimité, avec le secret espoir que le dernier rempart de dentelle ne soit plus un obstacle pour sa progression.

Mais il n’en a eu cure, délaissant mon sexe sans même le frôler, cela a fait monter d’un cran mon excitation.

Soudain il s’est engagé dans une descente de parking souterrain, il se gara et coupa le moteur.

• Nous sommes arrivés. Mais avant de sortir, j’aimerais que vous enleviez votre petite culotte et que vous la déposiez dans la boîte à gants !

Pour une fois que j’en avais mise une ! D’un geste langoureux j’ai levé une à une mes jambes pour pouvoir retirer délicatement le minuscule petit bout de dentelle transparent.

• C’est bien, je vois que vous avez compris ce que j’attends de vous !

Il sortit du véhicule, m’ouvrit la portière et, me tendant la main, il m’a conduit vers un ascenseur.

La porte s’est ouverte sur le hall d’un centre commercial au niveau des cinémas. Je ne m’attendais pas à ça. J’avais manifestement affaire à un original !

• Nous irons diner ensuite.

Il choisit un film où il savait qu’y avait peu de public. Ce qui l’intéressait n’était évidemment pas le film, c’était moi.

Une porte battante grince. La lumière exprime la pudeur du lieu. , Il n’y a que quelques spectateurs. Je monte la rampe devant lui, jusqu’à la dernière rangée de fauteuils, contre le mur noir, sous les projecteurs qui s’échappent de trois petites fenêtres asymétriques.

Un grincement, la porte. Une ombre, une dame. La quarantaine, vêtue sans goût, plutôt terne, mais bien faite. Blonde, les traits volontaires, un peu trop durs, et ses yeux bleus. Son regard parcourt la salle sombre. Elle fait grincer un fauteuil, au bout de notre rangée.

Claude me prend la main. Je le regarde, il fait sombre. Ses lèvres se rapprochent des miennes, ses lèvres me cherchent. Je réponds à son baiser.

Sa langue est contre la mienne, je l’aspire, elle vit dans ma bouche, souple et nerveuse, presque fraîche. Sa main passe sur ma joue, je suçote sa langue. La dame, le reste du public? Nous n’y pensons plus. La main de Claude passe sur mon épaule, descend sur mon sein droit. Je renverse ma tête sur le fauteuil, je ferme les yeux, je me sens bien avec cet homme.

La main de Claude descend sur ma hanche, ses doigts cherchent et trouvent ce qu’ils cherchaient sous ma robe. Ses doigts me caressent et me pénètrent. Je me tends, je gémis, je voudrais crier de plaisir quand ses doigts ont exploré mon intimité, mais il y a cette femme qui n’est pas loin. Ma main va sous la chemise de mon amant, je caresse tendrement sa poitrine virile.

Je me tends, ses doigts entrent en toi. Quant à moi, je défais sa ceinture. Claude veut garder le contrôle. Il remonte ma robe, elle est courte et je n’ai plus de culotte.

Je ne pense plus à la dame, aux projectionnistes, que quelqu’un pourrait voir. Je ne pense plus aux recommandations de Philippe, à mes promesses, aux préservatifs qu’il a mis dans mon sac à mains. Je ne pense plus à rien d’autre qu’à l’instant présent, à ce qu’est en train de me faire cet homme. Il va me baiser, ici, dans ce cinéma. Je le sais et je le veux !

Claude sait que je m’offre totalement et que, pour ce soir au moins, je suis à lui. Mais il veut prendre son temps et poursuivre les préliminaires, me rendre folle de désir.

Claude tombe à genoux. Il a son nez contre mes chairs, sa bouche cherchant la source de mon plaisir, sa langue me visite, m’affole. Je me mords la main, lève une jambe, étouffe un cri, m’enfonce dans le velours du fauteuil.

J’halète, je cherche de l’air, je chavire. Je regarde mon amant avec reconnaissance, je caresse sa tête. A l’occasion d’une scène du film, plus lumineuse, je vois la dame. Elle est là, elle aussi au dernier rang tout près de nous. Elle me sourit et nous regarde, sa jupe est relevée, sa main entre ses jambes, ses yeux semblent me dire : « continue, ne dis rien, s’il te plait ! »

Je suis ruisselante, je mords la paume de ma main, le regard fou. La femme qui nous mate se tend également, l’œil vague, les traits saisis en un désir torride et sauvage.

Claude se redresse, il presse son sexe à l’entrée du tien. Je vais me faire baiser par cet inconnu. Claude allait apaiser le feu qui couvait en moi depuis des semaines. Etre matée par cette femme m’enlevait toute inhibition. Etait-elle bisexuelle ou lesbienne refoulée ? Il semblait bien en tout cas que son attention se concentrait sur moi.

Claude entre en moi d’un coup. De son côté, la dame pousse un petit cri étouffé mouillé, mord à son tour son index replié, comme pour ne surtout rien dire. Claude me fait l’amour avec force. Notre spectatrice s’agite, se contient aussi, regarde toujours, ne perd rien de notre coït. Quant à moi, mes chairs se tendent, Claude me rejoint enfin et se vide longuement en moi, dans une explosion de plaisir.

La femme jouit en même temps que nous, elle se fige dans un ultime spasme, la musique du film couvre nos gémissements, elle porte ses doigts à sa bouche et goûte son plaisir, moi je recueille le sperme de mon amant et le goûte également.

Nous reprenons notre souffle. Je suis à demi-nue, jambes ouvertes, le bustier baissé qui laisse échapper mes seins. La femme referme sa robe et se redresse, se replongeant dans le film.

Claude m’embrasse, je sens mon odeur sur ses lèvres, je me sens bien et je sais que la soirée n’est pas finie, qu’il me réserve d’autres surprises.

A peine le film terminé, la femme se lève et fuit timidement. Je me lève aussi, Claude me tend la main, je me jette dans ses bras et l’embrasse. Une fois sortis de la salle, je me serre langoureusement contre lui, en lui disant : « l’ai encore envie ».

Je pense à cette femme, qui fut témoin de notre plaisir, à ce qu’elle a vu et j’ai encore envie de faire l’amour avec cet inconnu.

Modifiant le programme initial, Claude me conduisit à l’hôtel le plus proche et fût l’amant d’un soir. Je me suis, pendant quelques heures, offerte à lui.

A L’HOTEL

A peine étions nous arrivés dans la chambre, Claude entreprit de me déshabiller.

Je me montre au regard avide de l’homme. Mes seins sont dressés, je suis excitée et cela se voit à mes tétons dressés. Claude est en chemise et pantalon, à la bosse qui déforme maintenant le devant de celui-ci, je vois l’envie qu’il a de moi.

• tu me plais, tu es belle! Tu as un beau cul. Je bande, je vais t’en mettre plein la chatte ma belle!

Je défais la braguette, fais tomber le pantalon, le caleçon et maintenant un long sexe noueux, épais, doté d’un gland large et luisant, se dresse devant moi.

Puis il m’a soulevée, pris dans ses bras puissants et m’a posée sur le lit. Maintenant il se repait de mes formes, mes seins, mon ventre, mes cuisses, ma chatte à peine recouverte d’une fine toison brune.

• T’es trop belle, ton mari a bien de la chance!

• Viens! Viens baises moi!

• Oui, mais suces moi un peu avant, j’aime ça!

Claude s’est avancé, j’ai saisi la verge dressée. Maintenant j’enveloppais le sexe d’une main, le masturbant lentement de haut en bas puis mes lèvres avalèrent le gland gonflé de désir. Un liquide clair suintait du méat, sa langue le goutta et lécha le gland.

• Allonges toi, je vais te lécher la chatte maintenant, écartes bien les cuisses!

Claude s’est penché sur mon ventre, il me tient aux hanches et déjà sa langue courre sur ma chatte, entre dans mes lèvres charnues, trouve mon clitoris dressé par l’envie et le suce. Je posais les mains sur la tête de l’homme, presse la bouche gourmande sur moi. Il me dévore de longues minutes, allant du bouton d’amour à l’entrée de mon vagin.

Je mouille abondement, je suis ouverte. Je suis prête.

Pressé de me prendre il s’est relevé, s’est couché sur moi entre mes cuisses largement écartées. Il est lourd s’appuie sur ses avant-bras pour ne pas m’écraser.

• Prends là, mets là!

J’ai pris le sexe dur et l’ai guidé dans l’entrée ouverte de ma grotte d’amour.

D’un coup de reins puissant et impatient il m’a pénétrée, m’a investie de toute la longueur de sa verge. Les va et vient sont puissants, lents, intenses. Je m’offre à mon amant sans retenue.

Les larges mains de l’homme me caressent la nuque, les flancs, les seins. Sa bouche me dévore le cou, cherche mes lèvres que je ne cherche pas à dérober. La langue épaisse envahi mon palais, cherche la mienne qui se lie aussitôt à celle de l’homme.

Je noue les jambes autour des hanches larges de mon amant. Je suis bien avec lui, je voudrais que cela ne s’arrête jamais. Le gros gland et sa grosse tige noueuse labourent délicieusement ma chatte écartelée, butent au fond de ma matrice et m’arrachent des gémissements de plus en plus jouissifs. Les mouvements de l’homme sont plus rapides, je devine qu’il va bientôt jouir.

Dans mon ventre c’est le feu, l’embrasement, puis l’explosion quand je sens les chaudes giclées de sperme de mon amant frapper ma matrice.

Un moment, anéantis pas le plaisir nous sommes restés soudés, enlacés.

• Eh ben, dis donc ma chérie. C’était bon?

• Oui t’as vu, tu m’as fait jouir, mon chéri. Tu as aimé me faire l’amour?

• C’est rudement bon de baiser avec toi. On n’a pas mis de capote. Je suis sain tu sais, on ne risque rien, tu prends la pilule au moins?

• Oui et je suis saine aussi. Tu baises bien, tu es un sacré amant! Viens embrasse-moi encore et tu ne m’as pas baisée, nous avons fait l’amour. Je ne regrette pas cette soirée avec toi.

Sous la douche, nous nous sommes encore touchés, embrassés caressés, sucés. Claude m’a soulevée, adossée au mur et d’un coup de rein m’a prise à nouveau.

A nouveau, il m’a limée de longues minutes, m’a arrachés des gémissements, des cris puis des pleurs de plaisir. Il a de nouveau éjaculé en moi, avant de me reposer sur le sol.

Nous sommes restés de longues minutes enlacés, embrassés sous l’eau tiède et régénératrice.

Malgré l’insistance de Claude, j’ai respecté la promesse faite à Philippe de ne pas revoir cet homme et de ne pas lui laisser mes coordonnées.

Je n’avais cependant pas résisté à la tentation de me faire prendre sans protection et de laisser mon amant se vider en moi. Je n’étais certes pas en période « dangereuse », mais cela était bien évidemment une folie, qui fâcha Philippe, qui me dit : « tu ne peux pas t’empêcher » !

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